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condamner le terrorisme pour protéger la démocratie

Créé par le 23 nov 2023 | Dans : Non classé

Le terrorisme, dans son cœur et son âme, est un affront aux principes simples de la société humaine – la paix, la sécurité et le caractère sacré de la vie. Dans le monde politique, la réaction au terrorisme n’est pas seulement une question de technique de sécurité, mais aussi une position morale et éthique importante. Lorsque les personnalités politiques oublient de condamner le terrorisme sans équivoque, cela constitue une menace importante pour l’intégrité et la stabilité des sociétés. Cet essai examine les raisons pour lesquelles il est essentiel que les dirigeants politiques condamnent le terrorisme et les conséquences de leur incapacité à le faire.

Au premier plan, les dirigeants politiques sont considérés comme des guides moraux. Leurs phrases et leurs actions donnent le ton du discours et de la conduite publique. Lorsqu’ils condamnent les actes de terrorisme, ils réaffirment les exigences morales et éthiques collectives de la société contre la violence physique et l’extrémisme. Cette condamnation est un outil extrêmement efficace pour unir les gens contre une menace standard. En revanche, l’absence de condamnation du terrorisme, ou des affirmations plus graves, ambiguës ou bienveillantes à l’égard des actes terroristes, peuvent éroder la confiance du public et créer un sentiment de déloyauté au sein de la population.

La condamnation par des personnalités politiques sert à délégitimer les idéologies et les actions des terroristes. Le terrorisme se nourrit souvent de récits de validation et d’héroïsme face à des injustices reconnues. Lorsque les hommes politiques condamnent sans équivoque ce type d’actes, ils privent les terroristes de la validité qu’ils recherchent. Cela est essentiel pour affaiblir l’attrait des groupes terroristes pour les recrues et les sympathisants potentiels, perturbant ainsi leur base de soutien.

La lutte contre le terrorisme n’est pas seulement une préoccupation nationale, mais mondiale. Le terrorisme ne connaît pas de frontières et ses effets se font sentir dans le monde entier. Les dirigeants politiques qui ne condamnent pas le terrorisme ne compromettent pas seulement la protection de leur propre pays, mais créent également une incertitude mondiale. En n’adoptant pas une position ferme, ils peuvent involontairement offrir des refuges sans risque aux terroristes, faciliter la diffusion d’idéologies extrémistes et affaiblir la coopération mondiale dans les initiatives de lutte contre le terrorisme.

En période d’attaques terroristes, les sociétés sont souvent les plus vulnérables. Ces événements peuvent susciter la peur, la méfiance et la division entre les différents quartiers, en particulier si le terrorisme est lié à des groupes ethniques, religieux ou idéologiques spécifiques. Une condamnation ferme de la part des dirigeants politiques peut contribuer à empêcher la stigmatisation de communautés entières, en favorisant l’unité et la résilience face à l’adversité. Elle envoie un message de solidarité et d’inclusion, renforçant l’idée que le terrorisme n’est pas le reflet d’une équipe particulière, mais une menace pour tous.

Les dirigeants politiques jouent un rôle considérable dans la formation du point de vue et du discours publics. Leur condamnation du terrorisme peut constituer un puissant contre-récit à la propagande extrémiste. Elle peut contribuer à prévenir la radicalisation d’hommes et de femmes susceptibles d’être vulnérables aux idéologies terroristes. En définissant clairement le terrorisme comme inacceptable, les dirigeants gouvernementaux peuvent contribuer à créer un environnement où les opinions extrémistes sont contestées et marginalisées.

La démocratie repose sur les principes de liberté, de justice et de législation. Le terrorisme, par sa nature même, cherche à saper ces valeurs. Lorsque les dirigeants politiques condamnent le terrorisme, ils réaffirment leur attachement à ces concepts démocratiques. C’est aussi une reconnaissance des droits humains fondamentaux des personnes touchées par le terrorisme – le droit légal à la vie, à la sécurité et à la liberté. Le fait de ne pas condamner le terrorisme peut être considéré comme un manque de soutien à ces principes démocratiques cruciaux et aux droits individuels.

La condamnation du terrorisme par les leaders politiques est souvent la première étape de la mobilisation et de la formulation de plans de lutte contre ces menaces. Il s’agit d’un signe d’intention, d’une déclaration selon laquelle la question est de la plus haute priorité et qu’elle doit être traitée avec sérieux et urgence. Cela peut conduire à l’élaboration de plans plus efficaces, à l’allocation de ressources et à la mise en œuvre de stratégies visant à éviter le terrorisme et à y réagir.

Sur le marché international, la position des dirigeants politiques à l’égard du terrorisme influe sur les relations diplomatiques et la formation de coalitions. Une condamnation précise du terrorisme est souvent une condition préalable à la collaboration internationale dans la lutte contre le terrorisme. Elle contribuera à créer la confiance et la solidarité entre les nations, ce qui peut être crucial pour un partage efficace des renseignements, des opérations conjointes et des efforts diplomatiques pour lutter contre le terrorisme.

En conclusion, l’importance de la condamnation du terrorisme par les dirigeants politiques dépasse la simple politique. C’est une obligation qui est au cœur même de leur rôle de gardiens de la sécurité nationale, des idéaux démocratiques et de l’harmonie sociale. Leur position à l’égard du terrorisme détermine la boussole éthique de la société, influe sur la dynamique de la sécurité mondiale et détermine la force de la réponse combinée à ce fléau. En revanche, l’absence de condamnation du terrorisme risque de légitimer l’extrémisme, de diviser les communautés et de saper les fondements mêmes de la démocratie et des droits individuels. Dans le cadre de la lutte mondiale contre le terrorisme, la condamnation sans équivoque par des personnalités politiques n’est pas seulement importante, elle est impérative.

Le potentiel inexploité des épices cambodgiennes

Créé par le 09 nov 2023 | Dans : Non classé

Lorsque l’on pense aux pays producteurs d’épices, des nations comme l’Inde, l’Indonésie ou le Sri Lanka peuvent venir à l’esprit. Cependant, niché au cœur de l’Asie du Sud-Est, le Cambodge est une légende émergente dans le monde des épices, offrant une palette de saveurs riche et relativement inexplorée. Cet article de 900 mots se penche sur la position particulière du Cambodge dans le commerce des épices, sur sa culture traditionnelle et moderne des épices et sur les saveurs exclusives qui définissent la cuisine cambodgienne.

L’histoire du Cambodge avec les épices remonte à plusieurs siècles et est étroitement liée à son riche patrimoine ethnique ainsi qu’aux influences des pays voisins. L’Empire khmer, reconnu pour sa splendeur, a joué un rôle important dans les routes de l’industrie des épices. Bien qu’il ne soit pas aussi réputé que certains de ses voisins pour la fabrication d’épices, le Cambodge possède une combinaison unique d’épices qui sont à la base de sa cuisine et de sa médecine conventionnelle.

La récolte des épices cambodgiennes se fait dans de petites exploitations, souvent familiales. Ces exploitations utilisent des méthodes traditionnelles transmises de génération en génération, épices Khla en accordant une attention particulière à la durabilité et aux pratiques de culture naturelles. Le climat tropical du pays et la fertilité du sol créent les conditions idéales pour la culture d’une grande variété d’épices.

Épices essentielles au Cambodge : Le poivre de Kampot : Le poivre de Kampot, probablement l’épice cambodgienne la plus célèbre, a acquis une renommée internationale pour son profil gustatif unique. Développé dans la province de Kampot, ce poivre se décline en noir, blanc, vert et rouge, chacun ayant un goût et un parfum distincts. Curcuma : Couramment utilisé dans la cuisine khmère, le curcuma cambodgien est reconnu pour sa couleur intense et son goût terreux. Il ne s’agit pas seulement d’une norme culinaire, mais il est également vénéré pour ses propriétés curatives. Gingembre : Autre élément essentiel de la cuisine cambodgienne, le gingembre est réputé pour sa fraîcheur et son goût puissant. Il est utilisé à la fois dans la cuisine et dans les remèdes traditionnels. Citronnelle : Fréquemment utilisée dans de nombreuses cuisines du Sud-Est oriental, la citronnelle cambodgienne est particulièrement aromatique et confère aux plats une saveur citronnée et rafraîchissante.

Si les méthodes traditionnelles dominent, la culture durable, biologique et naturelle des épices suscite un intérêt croissant au Cambodge. Cette approche permet non seulement de préserver les saveurs traditionnelles, mais aussi de répondre à la demande mondiale d’épices ou d’herbes produites de manière naturelle. La cuisine cambodgienne, ou cuisine khmère, est souvent éclipsée par ses voisines thaïlandaise et vietnamienne, mais elle offre une expérience culinaire distincte et savoureuse. C’est une cuisine qui met l’accent sur la fraîcheur, la subtilité et l’équilibre des goûts.

Plats cambodgiens de base et leurs épices : Amok : ce plat khmer classique associe les saveurs de la citronnelle, du curcuma et du galanga (un parent du gingembre) à des produits à base de lait de coco pour créer un curry riche et aromatique. Kroeung : Élément fondamental de nombreux plats cambodgiens, le Kroeung est une pâte vivante qui comprend également de la citronnelle, du galanga, des feuilles de lime kaffir, du curcuma et de l’ail. Tuk Meric : Une sauce simple mais savoureuse qui combine le poivre de Kampot avec du jus de citron vert et du sel, souvent servie avec des viandes maigres grillées. Ces plats reflètent l’essence des plats cambodgiens, où les épices sont utilisées pour rehausser et harmoniser les saveurs au lieu de les dominer.

Outre leurs utilisations culinaires, plusieurs assaisonnements cambodgiens sont également très appréciés pour leurs effets bénéfiques sur la santé et la forme physique. Le curcuma, par exemple, est connu pour ses qualités anti-inflammatoires et antioxydantes. Le gingembre facilite la digestion et soulage les nausées, tandis que la citronnelle a des propriétés antibactériennes et antifongiques. Bien qu’elle soit encore relativement modeste sur la scène internationale, l’industrie cambodgienne des épices présente un potentiel de croissance. La reconnaissance internationale du poivre de Kampot, protégé par une indication géographique, a ouvert la voie à d’autres épices cambodgiennes. Les marchés mondiaux s’intéressent de plus en plus à ces saveurs uniques, ce qui offre au Cambodge une occasion précieuse de développer ses exportations d’épices.

Le Cambodge ne se contente pas d’exporter ses épices, il invite également le monde entier à en faire l’expérience. Le tourisme d’épices est une tendance croissante, les visiteurs affluant dans les fermes d’épices pour découvrir le processus de culture, participer à des cours de cuisine et savourer les saveurs fraîches. Cette forme de tourisme favorise les quartiers locaux et contribue au maintien des méthodes de culture traditionnelles.

Le Cambodge, avec son histoire abondante et son profil unique d’utilisateur d’épices, est un joyau caché sur la terre de l’assaisonnement. Le pays offre une combinaison intrigante de tradition et de modernité, avec une cuisine à la fois unique et délicieuse. À l’heure où la gastronomie mondiale devient de plus en plus passionnante, le Cambodge est bien placé pour faire connaître au monde son histoire particulière en matière d’épices. Qu’il s’agisse du poivre de Kampot, reconnu internationalement, du curcuma ou de la citronnelle aromatique, les assaisonnements cambodgiens témoignent de la richesse de la tapisserie sociale du pays et de son potentiel en tant qu’acteur majeur du commerce international des épices. Alors que le Cambodge continue de se développer et d’innover dans sa culture d’épices, le monde peut s’attendre à voir (et à goûter) davantage de ce paradis des épices de l’Asie du Sud-Est.

l’importance des avions de chasse

Créé par le 02 nov 2023 | Dans : Non classé

La puissance des avions de chasse est incontestable dans l’arène de la guerre moderne. Ces merveilles d’ingénierie et de technologie ont révolutionné la manière dont les nations protègent leurs intérêts, exercent leur influence et conservent un avantage stratégique sur leurs adversaires. Les avions de chasse ne sont pas seulement des outils de destruction ; ils symbolisent le summum du progrès humain et de l’ingéniosité. Dans cet essai, nous découvrirons les multiples facettes du pouvoir des avions de chasse, en examinant leur impact sur la défense, la dissuasion, les frappes de précision, ainsi que sur la géopolitique de notre monde.

Les avions de combat jouent un rôle essentiel dans la sauvegarde de la souveraineté et de la sécurité d’une nation. Ils constituent le premier type de défense contre les dangers aériens, notamment les aéronefs dangereux, les drones et les missiles. Les avions de chasse sont en alerte permanente, prêts à décoller à tout moment pour intercepter et neutraliser les menaces potentielles. Leur vitesse et leur agilité inégalées leur permettent de couvrir rapidement de grandes distances et de participer efficacement à des combats hostiles.

À l’ère moderne, les avions de combat sont essentiels à la protection de l’espace aérien d’un pays. Ils jouent un rôle dissuasif, en dissuadant les agresseurs potentiels de violer les frontières territoriales. Le fait de savoir qu’une pression aérienne technologiquement innovante monte la garde constitue un formidable tampon contre les incursions, avions expérimentaux contribuant ainsi à la stabilité régionale et à la protection mondiale.

Les avions de combat possèdent un pouvoir de dissuasion inhérent. Leur simple présence peut modifier le calcul stratégique des nations rivales. La possession d’une force aérienne performante témoigne de l’engagement d’une nation à défendre ses passions et peut décourager les adversaires de poursuivre des actions agressives. La crainte de représailles rapides et frustrantes de la part des avions de chasse constitue un moyen de dissuasion très efficace contre les actes d’agression.

Tout au long de la guerre froide, l’équilibre tactique entre les États-Unis et l’Union soviétique a été maintenu, en partie, grâce à la présence d’avions de chasse équipés d’armes nucléaires. Le concept de destruction mutuelle assurée (MAD) reposait sur l’idée que les deux superpuissances possédaient les moyens de fournir des charges nucléaires par l’intermédiaire de leurs avions de chasse, ce qui rendait une première frappe également risquée à envisager. Cet exemple illustre l’immense pouvoir des avions de chasse dans l’élaboration de la politique nationale mondiale et la protection de la paix par la dissuasion.

Les avions de combat sont devenus des systèmes de frappe de précision capables d’éliminer des cibles de grande valeur avec une grande précision. L’incorporation de systèmes de ciblage innovants, de munitions guidées et de renseignements en temps réel a transformé ces avions en ressources polyvalentes permettant d’effectuer des frappes aériennes précises et efficaces.

Dans les conflits modernes, les avions de combat ont fait preuve d’une capacité remarquable à minimiser les doges collatéraux tout en atteignant les objectifs militaires. Leur agilité leur permet de répondre rapidement aux nouvelles menaces et de s’adapter à l’évolution des champs de bataille. La précision et la polyvalence des avions de combat en ont fait des atouts indispensables dans les opérations de lutte contre le terrorisme et les combats asymétriques.

La puissance des avions de combat s’étend au-delà du champ de bataille ; elle influe profondément sur le paysage géopolitique. Les capacités de l’armée de l’air d’un pays peuvent façonner des alliances, influencer les négociations mondiales et projeter une puissance douce. La possession d’avions de combat avancés renforce la position mondiale d’un pays et son pouvoir de négociation.

Par exemple, des pays comme les États-Unis, la Russie et la Chine utilisent leur technologie de pointe en matière d’avions de combat pour favoriser les partenariats tactiques et s’assurer des contrats d’armement rentables avec d’autres nations. L’exportation d’avions de combat est un concept tangible de services militaires et de prouesses techniques, qui consolide les alliances et influe sur la force totale dans les domaines de valeur stratégique.

En outre, les avions de combat peuvent être utilisés pour soutenir des initiatives diplomatiques. Les survols, les démonstrations d’ambiance et les exercices d’instruction conjoints impliquant des avions de chasse démontrent l’assistance et la solidarité entre les nations. Ces démonstrations de la capacité des services militaires peuvent contribuer au dialogue diplomatique et renforcer les relations internationales.

La puissance des avions de chasse ne réside pas seulement dans leurs capacités fonctionnelles, mais aussi dans leur rôle de vecteurs de l’innovation technologique. Le développement de la technologie des avions de combat a conduit à des percées dans les domaines de l’ingénierie aérospatiale, de la science de l’approvisionnement et de la technologie de la connaissance. Ces innovations ont souvent des applications d’une grande portée au-delà du domaine des services militaires.

Par exemple, la recherche et le développement en matière d’aérodynamique et de systèmes de propulsion ont donné lieu à des percées qui profitent à l’aviation industrielle, en rendant les voyages aériens plus sûrs, plus efficaces et plus respectueux de l’environnement. En outre, l’intégration de techniques de pointe en matière d’avionique, de capteurs et de communication a ouvert la voie à des avancées dans les domaines de l’automobile autonome, de l’intelligence artificielle et des télécommunications.

Le pouvoir des avions de combat est multiforme et d’une grande portée, car il touche à des éléments de la défense, de la dissuasion, des attaques de précision, de la géopolitique et de l’innovation technologique. Ces merveilles aériennes ne protègent pas seulement la souveraineté d’une nation, mais façonnent également le paysage géopolitique mondial et favorisent l’amélioration technologique. Alors que la planète continue d’évoluer, les avions de chasse resteront l’élément principal des capacités militaires, garantissant la sécurité et les intérêts stratégiques des nations tout en stimulant le progrès et le développement dans divers domaines de carrière. On ne saurait trop insister sur leur importance dans la guerre moderne et la politique nationale mondiale, qui en font l’expression à la fois de la puissance militaire et de l’ingéniosité humaine.

Ce qu’un océan caché sous la glace antarctique révèle sur le climat futur de notre planète

Créé par le 28 sept 2023 | Dans : Non classé

Jules Verne a envoyé son sous-marin fictif, le Nautilus, au pôle Sud à travers un océan caché sous une épaisse calotte glaciaire. Écrit 40 ans avant qu’un explorateur n’atteigne le pôle, son histoire n’est pourtant qu’une demi-fiction.
Il y a en effet des cavités océaniques cachées autour de l’Antarctique, et nos dernières recherches explorent la façon dont l’océan circule sous les plateaux de glace du continent – de grandes extensions flottantes de la glace sur des terres qui montent et descendent avec les marées.
Ces plateaux de glace renforcent la gigantesque calotte glaciaire terrestre du continent et jouent un rôle important dans l’évaluation de l’élévation future du niveau de la mer. Notre travail apporte un éclairage nouveau sur la façon dont les courants océaniques contribuent à la fonte en Antarctique, qui est l’une des plus grandes incertitudes dans les prévisions des modèles climatiques.
Le camp de campagne au sommet de la plate-forme de glace Ross. Craig Stevens, auteur fourni
Un océan inexploré
La plate-forme de glace de Ross est la plus grande plaque de glace flottante sur Terre, avec 480 000 kilomètres carrés. La cavité océanique qu’elle recouvre s’étend sur 700 km au sud de la côte de l’Antarctique et reste largement inexplorée.
Nous savons que les plateaux de glace fondent principalement par le bas, lavés par un océan qui se réchauffe. Mais nous avons très peu de données disponibles sur la façon dont l’eau se mélange sous la glace. Ceci est souvent négligé dans les modèles climatiques, mais nos nouvelles mesures aideront à corriger cela.
La seule autre expédition dans la cavité océanique sous la plate-forme centrale de glace de Ross remonte aux années 1970 et est revenue avec des résultats intrigants Malgré la technologie limitée de l’époque, elle a montré que la cavité océanique n’était pas une baignoire statique. Au lieu de cela, il a trouvé de fines couches de masses d’eau, avec des températures et des salinités subtilement différentes entre les couches.
D’autres études océaniques ont été menées depuis les bords ou depuis le haut. Elles ont fourni un aperçu du fonctionnement du système, mais pour vraiment le comprendre, nous devions prendre des mesures directement depuis l’océan sous des centaines de mètres de glace.
L’équipe a utilisé un jet d’eau chaude pour percer la glace jusqu’à l’océan en dessous. Craig Stevens, auteur fourni
En 2017, nous avons utilisé un jet d’eau chaude, calqué sur le modèle du British Antarctic Survey, pour percer 350 mètres de glace jusqu’à l’océan en dessous. Nous avons pu garder le trou dans le liquide suffisamment longtemps pour effectuer des mesures détaillées de l’océan et laisser les instruments derrière pour continuer à surveiller les courants et la température des océans. Ces données arrivent toujours par satellite.
Nous avons trouvé que l’océan caché agit comme un estuaire massif avec de l’eau de mer relativement chaude (2 ℃) arrivant au fond de la mer pour faire du vélo près de la surface dans une combinaison d’eau de fonte et d’eau douce sous-glaciaire extraite de la calotte glaciaire et de la fondation rocheuse cachée de l’Antarctique .
Les centaines de mètres de glace isolent la cavité océanique des vents furieux et des températures de l’air glaciales de l’Antarctique. Mais rien n’arrête les marées. Nos données suggèrent que les marées poussent l’océan stratifié d’avant en arrière sur les ondulations passées sous la glace et mélangent des parties de la cavité océanique.
À lire aussi: Comment la chaleur solaire entraîne la fonte rapide de parties de la plus grande plate-forme de glace de l’Antarctique
La glace de l’Antarctique isole la cavité océanique des vents furieux et des températures de l’air glaciales. Craig Stevens, auteur fourni
Projections futures
Ce type de découverte est le défi ultime pour la science du climat. Comment représenter les processus qui fonctionnent à l’échelle quotidienne dans des modèles qui font des projections au fil des siècles? Nos données montrent que les changements quotidiens peuvent s’additionner, il est donc important de trouver une solution.
Par exemple, les données recueillies à l’extérieur de la cavité océanique et les modèles informatiques suggèrent que toute parcelle d’eau donnée passe de un à six ans à traverser la cavité. Nos nouvelles données indiquent que l’extrémité inférieure de la plage est plus probable et que nous ne devrions pas penser de toute façon à un grand circuit.
Le Ross n’est pas la plate-forme de glace la plus menacée par le réchauffement des océans, mais sa taille et sa relation avec la mer de Ross voisine signifie qu’il s’agit d’un rouage essentiel dans le système océanique planétaire.
L’importance de ces plateaux de glace pour l’élévation du niveau de la mer au cours des prochains siècles est très évidente. La recherche montre que si le réchauffement atmosphérique dépasse 2 ℃, les principaux plateaux de glace de l’Antarctique s’effondreraient et libéreraient de la glace s’écoulant de la calotte glaciaire du continent – soulevant le niveau de la mer jusqu’à 3 mètres d’ici 2300.
Ce qui est moins bien compris, mais aussi potentiellement un agent de changement massif, est l’impact de l’eau de fonte sur la circulation thermohaline mondiale, une boucle de transport océanique qui voit le cycle de l’océan depuis l’abîme au large des côtes de l’Antarctique jusqu’aux eaux de surface tropicales tous les 1000 ans. ou alors.
Les plates-formes de glace de l’Antarctique sont comme un arrêt dans cette boucle et donc ce qui se passe en Antarctique résonne à l’échelle mondiale.

Les Avancées de l’Innovation dans l’Aviation Militaire

Créé par le 13 sept 2023 | Dans : Non classé

Dans le paysage en constante évolution de l’aviation militaire, l’avancement est le socle sur lequel se construisent le progrès et la suprématie. La poursuite incessante de la domination dans le ciel nécessite l’exploration constante de technologies d’avant-garde, de conceptions novatrices et de concepts révolutionnaires. Les avions militaires sont passés d’engins rudimentaires en bois et en toile à des machines élégantes, furtives et hautement sophistiquées qui incarnent la quintessence de l’ingéniosité humaine. Cet essai se penche sur l’importance profonde du progrès pour l’aviation militaire, en mettant l’accent sur son rôle dans l’amélioration des caractéristiques opérationnelles, la garantie de la sécurité nationale et la propulsion des nations du monde entier à l’avant-garde des prouesses scientifiques.

Au cœur du domaine de l’aviation militaire se trouve le lien symbiotique entre l’innovation et les capacités fonctionnelles. Les progrès ont transformé la conception des aéronefs, les méthodes de propulsion, l’avionique, la science des approvisionnements et l’armement, ce qui a permis de créer des aéronefs non seulement plus rapides, plus maniables et plus durables, mais aussi dotés de méthodes sensorielles sophistiquées qui leur confèrent une connaissance inégalée de la situation. Les avions militaires modernes tels que le F-35 Lightning II incarnent cette synergie, car ils sont dotés de capacités furtives avancées, de suites de capteurs intégrés et de méthodes logicielles adaptatives qui confèrent aux pilotes un avantage stratégique global.

L’innovation a permis d’améliorer la capacité de survie des aéronefs, réduisant ainsi leur vulnérabilité face aux menaces ennemies. L’incorporation de technologies furtives, par exemple, a transformé la manière dont les avions militaires s’engagent dans la bataille, leur permettant d’opérer sans être détectés par les systèmes radar de l’adversaire. En outre, les progrès des systèmes de guerre électronique ont permis aux avions de brouiller les communications et les détecteurs de l’ennemi, interférant ainsi efficacement avec les fonctions hostiles. Ces améliorations aboutissent à des avions qui pénètrent dans des environnements hostiles avec un danger réduit, assurant la protection des pilotes et contribuant au succès de la mission.

L’innovation dans le domaine des avions militaires est inexorablement liée à la sécurité nationale et à la dissuasion. La puissance des flux aériens d’une nation joue un rôle essentiel de dissuasion contre l’hostilité, en projetant la durabilité et en dissuadant les adversaires potentiels de mener des actions dangereuses. L’innovation dans le domaine de l’aviation militaire soutient cet effet dissuasif en garantissant qu’un pays conserve un avantage technologique sur ses rivaux. Cet avantage est en fait une manifestation du principe selon lequel une nation conçue avec des aéronefs de pointe est mieux placée pour sécuriser son espace aérien, protéger ses intérêts et conserver une influence mondiale.

En outre, l’innovation dans le domaine des aéronefs militaires contribue à contrer les menaces asymétriques, en donnant aux nations les moyens de répondre rapidement à d’autres défis. Les systèmes aériens sans pilote (UAS), ou drones, illustrent parfaitement la manière dont les progrès ont transformé les méthodes militaires. Les UAS peuvent être utilisés pour la reconnaissance, la sécurité, la collecte de renseignements et les attaques ciblées, réduisant ainsi la nécessité pour les pilotes humains d’entreprendre des missions dangereuses. Cela permet non seulement de minimiser les pertes humaines, mais aussi de disposer d’une méthode rentable pour faire face aux menaces sur des terrains difficiles d’accès ou agressifs.

Dans le domaine de l’aviation militaire, la voie vers l’autorité mondiale est pavée de réalisations technologiques. Une nation qui peut exploiter les progrès pour mettre au point des aéronefs exceptionnels consolide sa position en tant que puissance scientifique. Ce prestige favorise non seulement l’influence diplomatique, mais aussi la croissance monétaire par le biais des exportations et des collaborations technologiques.

Par exemple, l’engagement soutenu des États-Unis en faveur de l’innovation dans le domaine des avions militaires leur a permis de devenir un leader mondial sur le marché de l’aérospatiale. Les innovations scientifiques mises au point pour des raisons militaires ont souvent des applications dans le domaine civil, ce qui permet de faire progresser des secteurs comme l’aviation, la science des approvisionnements et les communications. Cette pollinisation interdisciplinaire permet à une nation de rester à l’avant-garde dans de nombreux domaines technologiques, ce qui favorise le progrès économique et la création d’emplois plus qualifiés.

Les avancées dans le domaine de l’aviation militaire se développent au sein d’un écosystème collaboratif. Les entreprises aérospatiales, les instituts de recherche, les universités et les agences gouvernementales travaillent en tandem pour mettre au point des technologies de développement. Cette synergie facilite la mise en commun des sources, de l’expertise et des connaissances, ce qui accélère le rythme de l’innovation.

Les collaborations à l’échelle mondiale illustrent également l’importance du développement collectif. Des projets multinationaux tels que l’Eurofighter Typhoon et le projet F-35 montrent comment différents pays peuvent s’associer pour créer des aéronefs qui combinent diverses expériences technologiques. Cette forme de partenariat n’encourage pas seulement les liens diplomatiques, mais favorise également l’échange de connaissances, cultivant un environnement où l’innovation s’épanouit pour le bénéfice de tous.

L’évolution des avions militaires, qui sont passés d’engins de voyage primitifs à des merveilles perfectionnées et interconnectées, témoigne de l’importance indéniable de l’innovation dans ce domaine. Les progrès n’ont pas seulement propulsé l’aviation militaire vers de nouveaux sommets de capacités fonctionnelles, ils ont également renforcé la sécurité nationale, la dissuasion et l’autorité mondiale. En veillant à la mise en place d’un écosystème de partenariats et d’engagements interdisciplinaires, les nations peuvent s’assurer que leurs services aéronautiques militaires restent à la pointe de la suprématie technologique.

À mesure que l’avenir se dessine, Top Gun Maverick le guide complet des avions le rôle de l’innovation dans l’aviation militaire restera essentiel. La recherche permanente de systèmes, de conceptions et de méthodes innovants sera importante pour naviguer dans le paysage dynamique des difficultés de la sécurité internationale. Tout comme les pionniers de l’aviation ont révolutionné le ciel à leur époque, les innovateurs d’aujourd’hui façonneront le destin des aéronefs militaires, en veillant à ce que ces appareils restent à l’avant-garde des améliorations technologiques et des prouesses stratégiques.

De Pierre Abelard à Louis Althusser

Créé par le 09 sept 2023 | Dans : Non classé

Louis Althusser était en fait une vierge âgée de 35 saisons lorsqu’il a atteint Hélène Rytman, âgée de 38 ans. La femme plus âgée a lancé le philosophe français à un nouveau monde érotique courageux, une communauté pour laquelle Althusser n’était peut-être pas tout à fait prêt: juste après s’être reposé avec Hélène pour la première fois, Althusser a été perturbé mentalement qu’il est tombé dans une situation sérieuse. des symptômes de dépression, nécessitant un traitement de choc et une hospitalisation. Malgré les mauvais présages, Althusser a à un moment donné reconnu les relations sexuelles comme un élément de sa vie quotidienne et a épousé Hélène. En réalité, Hélène aurait peut-être trop bien expliqué son jeune amant; il commença rapidement l’infidélité en elle avec d’autres dames. Leur mariage a été rythmé par des combats agressifs, et Hélène est souvent vulnérable à l’éliminer. Ils n’avaient pas d’amis, ce qui ne faisait qu’aggraver leurs problèmes relationnels. Rien de tout cela n’a aidé à la fragilité de l’état mental d’Althusser et qu’il a fallu des hospitalisations répétées et des thérapies psychanalytiques complètes. Étonnamment, Althusser était néanmoins capable d’instruire lors de ses éditions. Il a enseigné pendant plus de trente ans à l’École Normale Supérieure de Paris, influençant une technologie complète de penseurs français avec sa vision marxiste significative. L’existence d’Althusser s’est écroulée sur lui lorsque, aux premières heures d’un dimanche matin tranquille de 1980, il a assassiné «accidentellement» sa moitié. Comme l’écrivait Althusser avec une clarté troublante: Agenouillée à côté d’elle, inclinée sur tout son corps, je lui massais le cou. Je massais souvent sans bruit la nuque, la gorge et le dos. . . . Mais à cette occasion, je massais le devant de son cou. . . . La rencontre d’Hélène était calme et immobile; ses yeux étaient en fait ouverts et fixaient le toit. Instantanément, j’ai été frappé de terreur. Son œil le fixait interminablement, et j’ai également vu la suggestion que sa bouche affichait la région des dents et de la bouche, étrange et immobile. J’avais besoin de voir de vieux corps juste avant, bien sûr, mais en aucun cas dans mon style de vie je ne regardais le visage de quelqu’un qui avait déjà été étranglé. Pourtant, je savais qu’elle avait été étranglée. Mais comment? J’ai résisté et j’ai crié: «J’ai étranglé Hélène!» Il a déclaré qu’il vivait un état intense d’incertitude intellectuelle découlant de nombreuses années de troubles maniaco-dépressifs. Il a ensuite été évalué psychologiquement inapte à faire face à la démo et a été placé pendant pratiquement 3 ans dans des hôpitaux psychiatriques avant d’être renvoyé dans la communauté en 1982. Il a vécu et dans des centres médicaux jusqu’à sa mort sept ans plus tard. , par certains moyens en choisissant les efforts et la santé mentale pour compléter son autobiographie, The Near Future Will durera longtemps.

Le vin comme passeport pour l’exploration

Créé par le 07 sept 2023 | Dans : Non classé

Le vin, une boisson appréciée depuis des centaines d’années, a la capacité inégalée de transcender les frontières géographiques et de nous emmener dans un voyage captivant à travers le temps, la culture et le terroir. Le vin est plus qu’une simple gorgée de liquide de raisin fermenté ; c’est une exploration du passé historique, de la géographie et de l’âme humaine. Dans cet essai, nous allons nous plonger dans le monde du vin et découvrir comment il peut vous faire voyager, non seulement physiquement, mais aussi par les sens et la pensée créative.

L’un des aspects les plus séduisants du vin est sa capacité à nous relier à différentes parties du monde. Chaque verre peut être un véritable billet pour un terroir spécifique, nous permettant d’explorer les paysages, les climats et les sols qui ont façonné les raisins dont il est issu. Lorsque nous dégustons un verre de Bordeaux, nous sommes transportés dans les vignobles du sud-ouest de la France, où la combinaison de sols graveleux et d’un climat maritime donne naissance à des vins rouges riches et puissants. De même, une gorgée de Sauvignon blanc néo-zélandais nous transporte dans les vignobles immaculés de la région de Marlborough, avec ses goûts croquants et piquants qui reflètent le terroir unique de cette terre lointaine.

En outre, le vin est souvent accompagné d’un scénario, d’un récit qui entremêle l’histoire et les traditions. Chaque boisson peut révéler l’héritage de décennies de viticulteurs qui ont travaillé dur pour perfectionner leur art. Par exemple, les vins de Toscane, en Italie, ne se contentent pas d’émoustiller le palais par leurs saveurs audacieuses, ils offrent également un aperçu des traditions viticoles séculaires de la région, où le raisin Sangiovese est cultivé avec soin depuis des générations.

Le vin rouge est une expérience multisensorielle qui sollicite non seulement les papilles gustatives, mais aussi les autres sens. Lorsque vous tenez un verre de vin à la lumière et que vous observez sa couleur et sa clarté, vous parcourez visuellement le spectre des teintes, des violets profonds du jeune Malbec aux jaunes éclatants d’un Chardonnay âgé. En faisant tourner le vin dans votre verre, vous libérez son bouquet parfumé, qui peut vous transporter dans des vignobles, des vergers ou des forêts lointaines. Le parfum des mûres d’un cabernet sauvignon, la terre d’un pinot noir ou les remarques florales d’un gewürztraminer peuvent évoquer des photos vivantes et des souvenirs des régions d’où proviennent ces vins.

L’acte de goûter lui-même est un voyage à travers des profils d’utilisateurs de saveurs qui regardent le terroir et les techniques de vinification. Une gorgée de vin peut évoquer une sensation de lieu, vous emmenant dans un voyage culinaire à travers les régions où il a été élaboré. La minéralité du Chablis peut évoquer les sols calcaires de Bourgogne, tandis que les notes épicées d’un Tempranillo espagnol vous transportent dans les vignobles ensoleillés de la Rioja. La quantité totale d’acidité et de douceur d’un Riesling allemand peut vous transporter sur les pistes de ski en terrasses de la vallée de la Moselle, où les vignes s’accrochent aux flancs des collines.

Le vin est profondément lié à la culture et à l’histoire, et son appréciation peut permettre de mieux comprendre diverses sociétés et leurs coutumes. Discuter d’un verre de vin rouge avec des amis ou des membres de la famille est une rencontre humaine très répandue, un symbole de convivialité et de célébration qui transcende les barrières des mots. Lorsque vous levez votre verre et l’ouvrez avec d’autres personnes, vous participez à une tradition internationale de toast, du « chin-chin » en Chine au « prost » en Allemagne.

Étudier les vins d’une région donnée, c’est souvent se plonger dans ses traditions culinaires. Associer un vin rouge à une cuisine communautaire permet de découvrir les saveurs, les composants et les techniques culinaires qui définissent une culture. Un verre de Sangiovese convient aux plats de nouilles italiennes, tandis qu’un Shiraz épicé rehausse les saveurs du barbecue australien. La dégustation de vins de différentes régions ouvre un éventail de possibilités gastronomiques et vous permet de parcourir divers paysages culinaires sans quitter la table de votre salle à manger.

En outre, le vin rouge peut être un chemin vers l’histoire et le patrimoine. Les vignerons incarnent souvent le riche passé de leur région, et une visite dans un vignoble peut s’apparenter à une capsule temporelle. Par exemple, les anciens vignobles de la vallée du Rhône, en France, témoignent de l’héritage durable de la viticulture dans la région, avec de nombreuses vignes datant de plusieurs siècles. L’exploration de ces vignobles traditionnels permet non seulement de renouer avec les origines de la viticulture, mais aussi d’ouvrir une fenêtre sur le contexte plus large de la région.

Le vin a une capacité unique à stimuler l’imagination. En dégustant un verre de vin rouge, vous pouvez fermer les yeux et laisser votre esprit se promener, en laissant les saveurs, les arômes et l’histoire du vin vous transporter dans des endroits très éloignés. L’efficacité de l’imagination soutenue par le vin n’est pas à sous-estimer.

Il suffit de penser à la façon dont une coupe de champagne peut évoquer des images de soirées opulentes dans les grands salons de Paris ou à la façon dont un verre de Malbec évoque des visions des contreforts des Andes en Argentine. Le vin a la capacité exceptionnelle de susciter la rêverie et l’envie de voyager, nous incitant à explorer le monde entier et ses différents paysages.

En outre, le vin a inspiré de nombreuses œuvres d’art, de littérature et de musique tout au long de l’histoire. Les peintures de vignobles réalisées par des artistes tels que Vincent van Gogh et Claude Monet illustrent l’émerveillement et la mystique des régions viticoles. La littérature regorge de références au vin, depuis les célébrations hédonistes de Bacchus dans la mythologie antique jusqu’à l’attrait enivrant du vin dans les œuvres d’auteurs tels qu’Ernest Hemingway et Marcel Proust. Même en musique, des airs d’opéra de Verdi aux ballades romantiques d’Édith Piaf, le vin sert souvent de muse et de signe d’intérêt et de désir.

En conclusion, le vin est un élixir puissant qui peut nous transporter dans un voyage remarquable à travers la géographie, les sens, vins d’Alsace les traditions et la pensée créative. À chaque gorgée, nous traversons des panoramas de vignobles, faisons l’expérience de la communauté à travers nos sens, interagissons avec diverses ethnies et entamons des envolées fantaisistes. Le vin est un passeport pour la recherche, un vaisseau de l’histoire et de la tradition, ainsi qu’un catalyseur de la créativité. Il nous rappelle que, même dans notre vie, nous avons le pouvoir d’entreprendre des voyages de découverte et d’élargir nos horizons, une bouteille à la fois. Alors, levez votre verre aux merveilles du vin et laissez-le vous emmener dans le voyage de votre vie.

Cockpits d’Airbus et de Boeing : quelles différences ?

Créé par le 27 juin 2023 | Dans : Non classé

Le cockpit, parfois appelé le « bureau » du pilote, est un élément essentiel de tout aéronef. C’est là que les aviateurs actionnent les commandes, surveillent les systèmes et prennent des décisions cruciales pendant les trajets. Bien que tous les cockpits d’avion aient un objectif commun, il existe des différences de conception et d’agencement entre les constructeurs, par exemple Airbus et Boeing. Ces différences peuvent avoir une influence significative sur la manière dont les pilotes interagissent avec l’avion, sur leur charge de travail et sur l’ensemble des opérations de transport aérien.

L’une des nombreuses différences notables entre les cockpits d’Airbus et de Boeing concerne le point de vue de la conception du cockpit. Airbus a tendance à s’en tenir à la philosophie du « take flight-by-wire », en utilisant des solutions numériques et l’automatisation pour aider les aviateurs à contrôler l’avion. En revanche, Boeing s’en tient à une philosophie de « contrôle par fil », simulateur de vol cherchant à fournir aux pilotes un meilleur contrôle direct des systèmes de l’avion. Ces approches opposées peuvent influencer la manière dont les pilotes communiquent avec l’avion et le degré d’automatisation auquel ils ont recours en vol.

En ce qui concerne la conception physique, les cockpits d’Airbus comprennent généralement un système de gestion par manche latéral, où chaque pilote dispose d’un manche personnel sur le côté. Cette conception et ce style permettent une bien meilleure visibilité des instruments et des écrans d’ordinateur dans le cockpit. En revanche, les cockpits des avions Boeing sont généralement équipés d’un manche traditionnel, une ligne de commande en forme de roue située au centre entre les deux pilotes. Le choix entre un poste de pilotage à aire fixe et un poste de pilotage de gestion est en grande partie une question de préférence personnelle et de familiarité pour les pilotes.

Une autre variation importante réside dans l’emplacement et la compagnie des commandes et des affichages du cockpit. Les cockpits des Airbus sont souvent des cockpits à coupelles dotés de grands écrans électriques appelés « Electronic Airline Flight Instrument Program » (EFIS) ou « Primary Air travel Display » (PFD). Ces écrans fournissent aux pilotes des données complètes sur le vol de la compagnie aérienne, des informations sur la navigation et des informations sur le système dans un format consolidé. Les cockpits Boeing, tout en intégrant des affichages numériques électroniques, conservent souvent un plus grand nombre de dispositifs analogiques physiques, offrant aux pilotes une présentation plus traditionnelle.

L’automatisation est un autre point sur lequel Airbus et Boeing diffèrent dans leurs modèles de cockpits. Les avions Airbus sont connus pour leurs méthodes d’automatisation sophistiquées, telles que le « Flight Managing System » (FMS) et le programme « Autothrust ». Ces solutions assistent les pilotes dans la planification du voyage aérien, la navigation et le contrôle intelligent de la poussée des moteurs. Boeing, tout en incluant des techniques d’automatisation, tend à offrir aux pilotes beaucoup plus d’options de contrôle manuel, ce qui permet une plus grande flexibilité globale et des capacités de sélection.

L’impact des différences de conception et de style du cockpit sur les pilotes peut varier en fonction de leur formation et de leur expérience. Les pilotes d’avions qui passent d’un constructeur à un autre peuvent avoir besoin de suivre des programmes de formation spécifiques pour se familiariser avec les différents modèles de cockpits, les techniques de contrôle et les fonctions d’automatisation. Le niveau d’automatisation et la confiance qu’y accorde le pilote peuvent également influer sur le contrôle de la charge de travail et la génération de choix. Certains pilotes d’avion peuvent aimer les systèmes plus informatisés d’Airbus, tandis que d’autres peuvent se sentir à l’aise avec l’accent mis par Boeing sur la gestion manuelle.

En fin de compte, Airbus et Boeing s’efforcent de fournir aux aviateurs des avions inoffensifs et efficaces. Les choix d’aménagement du poste de pilotage reflètent des philosophies différentes et des préoccupations majeures, en tenant compte de facteurs tels que les préférences des pilotes, les tendances de l’industrie et les améliorations technologiques. Si les différences de conception des cockpits entre Airbus et Boeing peuvent nécessiter une certaine adaptation de la part des pilotes, elles offrent également des possibilités de diversification, d’apprentissage et d’élargissement des compétences.

Les différences de conception des cockpits entre Airbus et Boeing peuvent avoir une influence significative sur la manière dont les aviateurs interagissent avec l’avion, sur leur charge de travail et sur l’ensemble des opérations de vol. Connaître ces distinctions et s’adapter aux différents agencements et systèmes du poste de pilotage est essentiel pour les aviateurs qui changent de producteur d’aéronefs. En s’adaptant continuellement et en se tenant au courant de l’évolution des systèmes de cockpit, les pilotes peuvent tirer efficacement parti des points forts de la philosophie d’aménagement de chaque constructeur, ce qui améliore la sécurité, l’efficacité et l’expérience de vol dans son ensemble.

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La fin du communisme

Créé par le 29 avr 2023 | Dans : Non classé

Indépendamment des troubles et des bouleversements provoqués par le passage à votre économie de marché capitaliste, la Fédération de Russie ainsi que les républiques soviétiques précédentes ne sont pas susceptibles de rétablir le principe communiste. Le Parti communiste de la Fédération européenne, le successeur du PCUS, attire certains partisans, mais son idéologie est réformiste plutôt qu’innovante; son objectif principal est apparemment celui de lisser le passage en cours et souvent douloureux à une certaine économie de marché et de chercher à atténuer ses éléments beaucoup plus manifestement inégalitaires. En Extrême-Orient, le maoïsme est offert du bout des lèvres mais n’est plus défini dans l’exercice. Certaines énormes entreprises continuent d’avoir le statut, mais l’engouement est manifestement pour l’augmentation de la privatisation ainsi que pour une économie de marché décentralisée dans son ensemble. La Chine est maintenant proche de posséder un climat économique capitaliste à part entière. Cela soulève la question de savoir si les marchés libres et la démocratie peuvent être découplés ou indépendamment du fait qu’un seul en suggère un autre. Le PCC continue de ne rencontrer aucune opposition, comme l’a clairement montré la suppression des présentations d’étudiants pro-démocrates sur la place Tiananmen en 1989. La version de Mao du marxisme-léninisme reste une pression dynamique mais ambiguë dans d’autres endroits d’Asie, plus particulièrement au Népal. Après avoir eu dix ans de lutte armée, les insurgés maoïstes y ont convenu en 2006 de mettre la main à la pâte et de participer aux élections dans tout le pays pour sélectionner une organisation pour faire tourner et réécrire la constitution népalaise. Revendiquant une persistance de la démocratie multipartite avec un climat économique mixte, les maoïstes sont apparus à partir de vos élections en 2008 parce que le plus grand parti à l’intérieur de l’assemblée – un événement qui semble maintenant apparaître comme le PCC pragmatique de ces derniers temps beaucoup plus étroitement qu’il n’y paraît comme les révolutionnaires maoïstes du 20e siècle. D’un autre côté, la Corée du Nord, dernier bastion d’un communisme dépassé de type soviétique, est un régime éloigné et répressif. Longtemps dépourvus de parrainage et de subventions soviétiques, Cuba et le Vietnam ont déjà fait des démarches diplomatiques et recherchent des achats à l’étranger dans leurs économies de plus en plus orientées vers le marché, mais politiquement, chacun continue d’être un État communiste à parti solitaire. De nos jours, le communisme de style soviétique, avec son économie de l’ordre et sa préparation bureaucratique dirigeante, a disparu. Il est improbable que ce type de régime ait jamais été compatible avec la conception de Marx du communisme. Reste à voir si quelqu’un guidera une toute nouvelle motion pour construire une société communiste sur les contours marxistes.

Spinoza

Créé par le 13 avr 2023 | Dans : Non classé

Philosophe hollandais d’origine juive, Spinoza reste probablement le plus puissant mais le plus dur des philosophes du collège rationaliste. Très influencé par Descartes et Euclide, il portera le rationalisme à ses conditions extrêmes raisonnables, cherchant à définir les lignes directrices d’un processus moral dans un format axiomatique, tout comme Euclide a démontré ses théorèmes de géométrie La tâche ambitieuse de Spinoza est peut-être l’une des plus grandes peut-être entrepris dans une vision qui est une étiquette de son succès qui, dans une mesure substantielle, il a été remarquablement productif dans cette tâche. À l’intérieur de l’Ethica ordineometrico démonstrata imprimée à titre posthume (Valeurs montrées dans l’achat géométrique), Spinoza expose les axiomes qu’il prendra pour être personnellement évidents, après quoi les gains, étape par étape, en déduisent des conclusions morales. Comme Descartes, il ou elle a le souci de fonder la connaissance sur des fondements rationnels: ses résultats éthiques doivent pour cette raison commencer tout d’abord sur un certain nombre de croyances ontologiques, métaphysiques et épistémiques. Chacun de ces éléments est, à son tour, démontré dans un style géométrique. La vision principale de Spinoza peut être l’idée, tout comme celle de Parménide, que tout dans l’univers est certainement un. Il y a simplement un composé et cette sous-position que nous pourrions concevoir comme parfois Personnage ou Seigneur. Ce composé a certainement de nombreuses caractéristiques mais les êtres humains, devenant finis, ne peuvent en percevoir qu’une paire, l’extension et la pensée. Contrairement à Descartes, qui pensait que l’esprit et le corps étaient deux types de problèmes indépendants, Spinoza soutient que le corps et l’esprit sont simplement des façons différentes de concevoir le même fait. Cette réalité, Le plein air ou Seigneur, est complètement personnelle, autodidacte et suffisante. Tout dans l’univers fait partie de Dieu, et précisément ce qui se produit est en fait une partie ou une manifestation nécessaire du divin extérieur. Le résultat de la vision panthéiste est toujours d’éliminer le libre arbitre à travers le champ des pas humains. En fin de compte, si les humains font partie du fait divin, il n’y a pas de place pour des mesures causales autosuffisantes. Spinoza est ravi de ce résultat, il est un déterministe intensif: «… l’expérience nous dit clairement que les hommes croient qu’ils sont totalement libres simplement parce qu’ils sont conscients de leurs mesures et inconscients de la cause d’où par- par ces étapes sont décidés; de plus, il peut être clair que cela détermine à partir du cerveau que ce n’est qu’une réputation supplémentaire pour les appétits qui varient en fonction de la diversité du statut du système.  » Néanmoins, Spinoza a le moyen de générer de l’espace pour tout type de liberté, même bien que ce soit loin de l’organisation à laquelle les philosophes sont habituellement employés. Chaque individu, déclare Spinoza, est en réalité une puissance localisée des traits de vérité, une quasi-personne réelle, car le seul véritable individu est l’univers dans sa totalité. Dans la mesure où la quasi-personne est gouvernée par ses pensées intérieures, elle est non libre et soumise à une familiarité finie avec. En devenant totalement libre, le patient doit, au moyen d’une réflexion raisonnable, comprendre la séquence causale prolongée qui renvoie tout comme un. Découvrir la totalité du monde, c’est généralement être libéré, non pas du déterminisme causal, mais de l’ignorance du réel à l’extérieur. Et alors, de la méchanceté, du péché et du satanique?

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