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Créé par cmonaktu le 06 juin 2019 | Dans : voyage
Michelin, Relais & Châteaux et membre des Grandes Tables du Monde. Bernard Loiseau, héritier des recettes et du savoir-faire de la cuisine du maître de ces lieux, ominiprésent, dont la mémoire est célébrée par toutes les personnes qui l’ont côtoyé professionnellement et personnellement. La date de la visite épicurienne a sans doute été accélérée suite au rendez-vous chez Bernard Leray, chef étoilé de la Nouvelle Auberge à Wihr-au Val (67), un ancien du Relais, qui désigne Bernard Loiseau comme un second père. Son récit ému de son repas d’anniversaire orchestré par son ami Patrick (ndlr, les deux chefs bretons se sont rencontrés chez Bernard Loiseau) a précipité une réservation, motivée et doublée, cette fois par des raisons personnelles. L’occasion est trop belle : la journaliste veut à tout prix le faire parler. Et sa persévérance peut parfois donner lieu à des situations comiques. En voyant la journaliste de Cash Investigationavancer dans la rue, le patron en question prend ses jambes à son cou et… s’enfuit. Pas question de baisser les bras, Elise Lucet est bien décidée à le poursuivre. Elle débute alors un sprint et tente de le rattraper. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les téléspectateurs se sont délectés de cette scène cocasse. La séquence en question a en effet beaucoup fait réagir les internautes. Une fois n’est pas coutume, c’est en train que Kim Jong-un s’est rendu en Russie. Le dirigeant nord-coréen a franchi la frontière ce mercredi pour se rendre à son premier sommet avec le président Vladimir Poutine. À bord se trouvait également son ministre des Affaires étrangères, Ri Yong Ho. Tous deux ont été accueillis par des femmes vêtues de costumes folkloriques et leur proposant pain et sel, à leur arrivée dans la ville russe de Khassan à la frontière de la Corée du Nord et de la Chine. Vladimir Poutine et Kim Jong-un doivent se rencontrer jeudi à Vladivostok, et plus précisément sur l’île Rousski, en face du port, où des drapeaux russes et nord-coréens ont été accrochés sur les lampadaires. Les deux sont un bon point de départ pour une visite de la ville. Si vous avez l’impression que Kiev contient beaucoup de cathédrales et de bâtiments religieux, vous ne rêvez pas. La ville est parsemée de nombreux dômes tous plus beaux les uns que les autres, la plupart peints de bleus et de verts vifs qui éclairent le paysage. Le plus grand de ces bâtiments est la laure des Grottes de Kiev, un important complexe de cathédrales, catacombes, grottes et collines verdoyantes s’étendant sur plus de 28 hectares et considéré comme l’endroit le plus sacré du pays. Visiter de multiples monuments en une journée est extrêmement facile à Kiev, principalement grâce à Uber, qui est à la fois très répandu et bon marché. Quel est le signe astrologique chinois de la célébrité Edouard Philippe ? Quel est la taille de la célébrité Edouard Philippe, combien elle mesure ? Quel est la couleur des cheveux de la vedette Edouard Philippe ? Quel est la couleur des yeux de la célébrité Edouard Philippe ? Quelles sont les origines de la personnalité Edouard Philippe ? Quel est le métier / l’activité de la célébrité Edouard Philippe ? La célébrité est de sexe Masculin , son nom / surnom est Edouard Philippe, son prénom est Edouard et son nom réel ou complet est inconnu. Le prénom, nom ou pseudo de la star débute par la ou les lettres de l’alphabet e, p.
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Créé par cmonaktu le 21 fév 2019 | Dans : voyage
D’où viennent les passions ? Voilà un bien grand mystère. Dans mon cas, j’entretiens une passion plutôt étrange pour les avions de chasse. Je ne sais comment elle est née. Mais aussi loin que remontent mes souvenirs, j’ai toujours été fasciné par ces engins. Je me souviens que quand j’étais petit, je ne sortais jamais sans avoir au moins un avion de chasse en poche. Je le sortais à tout bout de champ et m’embarquais dans de complexes batailles aériennes. Si cette passion s’est heureusement calmée depuis, je me suis toujours promis qu’un jour, je monterais à bord d’un véritable appareil. Et je suis passé à l’acte samedi dernier, à l’occasion d’un vol. Cela s’est passé, et ce jour fait clairement partie des plus beaux jours de ma vie. Les sensations que j’ai pu avoir là-haut resteront à jamais gravées en lettres de feu dans ma mémoire. Car vous l’avez peut-être observé : il peut y avoir une différence entre savoir quelque chose et le vivre. Je m’étais longuement renseigné sur les émotions offertes par un avion de chasse : les facteurs de charge qui vous font multiplier votre poids habituel par 6, l’apesanteur des G négatifs durant certaines acrobaties, le champ de vision qui diminue quand approche le blackout… Mais on a beau savoir, je crois qu’on ne se rend pas vraiment compte ; mais lorsque le corps ressent physiquement tout cela, on réalise que la théorie ne représente pas grand-chose comparée. Certains moments étaient si intensives qu’elles en devenaient douloureuses. Et je dois vous confesser que, bien que j’aie adoré ce vol, j’ai été soulagé quand il a fallu prendre le chemin du retour… J’étais trempé de la tête au pied. Si l’adrénaline est votre credo, je vous recommande sans hésiter le vol en avion de chasse. Voilà le site par lequel je suis passé pour ce vol, si vous vous sentez une âme de baroudeur…En savoir plus en suivant le lien sur le site du spécialiste reconnu de ce vol en L39 Albatros à Paris Pontoise.
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Créé par cmonaktu le 20 oct 2017 | Dans : voyage
Mercredi dernier, 15 heures. Je suis à Rennes, dans un petit aérodrome. Vincent et moi rejoignons l’avion qui nous attend, un Cessna 152. Vincent, c’est le pilote-instructeur qui va m’accompagner durant ce vol. Car oui, dans 10 minutes, je vais exécuter mon premier vol en tant que pilote. Nous faisons le tour de l’appareil pour vérifier son bon état. Le plein a été fait, tout semble bien aller. C’est le moment de monter dans l’appareil. Une fois bien installé, la ceinture attachée, mon casque branché et vérifié, Vincent prend contact avec la tour de contrôle et celle-ci nous donne l’autorisation de rouler. Car oui, avant de voler, il faut rouler jusqu’au bout de la piste pour se mettre face à elle. Nous y voilà. C’est déjà le moment d’y aller. Vincent s’occupe du décollage, mais je garde mes mains sur le manche (c’est un appareil de formation, et toutes les commandes sont donc en double) pour suivre la manoeuvre. L’avion prend de la vitesse puis quitte soudain le sol. La sensation est indéfinissable. Nous prenons prestement de l’altitude, et la sensation de vitesse disparaît alors que le sol rétrécit à vue d’oeil. Nous sommes en plein ciel, le pilote me laisse les commandes. Je suis tout de suite impressionné par le confort de l’appareil. Les commandes sont simplissimes. Je monte à 600 mètres. Il fait beau et la vue est splendide. Mais il faut bien avouer que je passe plus de temps à vérifier notre assiette qu’à admirer le paysage. Avec un sourire, Vincent me signale qu’il est déjà l’heure de prendre le chemin du retour. J’étais tellement concentré que je n’ai pas vu les vingt minutes défiler ! Vincent me réserve une surprise de dernière minute : c’est moi qui vais poser l’appareil ! Petit instant de stress alors que j’entame la descente. L’appareil descend à plus de 150 km/h et c’est plutôt impressionnant. Mais je manoeuvre en suivant les conseils de Vincent et, une minute après, le petit appareil retourne tranquillement à sa place. Première mission réussie ! Cette expérience étonnante m’a beaucoup plu et j’espère bien revivre ça sous peu. Contrairement à ce que je pensais, le pilotage d’avion est facile et ouvert à tous. D’ailleurs, on peut passer sa licence de pilote avant d’avoir atteint la majorité. Plus d’information sur ce de vol en avion à Bondues en cliquant sur le site de l’organisateur.
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Créé par cmonaktu le 14 juil 2017 | Dans : voyage
Le week-end dernier, je me suis laissé tenter par un très sympathique baptême de parapente à Ardèche. Une promenade qui m’a rappelé à quel point la vie est fabuleuse et vaut vraiment la peine. Non pas uniquement pour ces moments de pure magie, mais aussi pour ce qu’elle a à offrir chaque jour. Mes beaux-parents apprécient très peu cette soif d’évasion qui me prend régulièrement. Pour eux, leur fille et moi devrions être deux siamois, et tout faire ensemble, tout le temps. Ils semblent trouver incroyable que je veuille faire des choses de mon côté. Mais pour moi, c’est un procès parfaitement déplacé qu’ils me font. Quand je m’évade, ce n’est pas pour échapper à ma petite tribu et à leur fille : c’est justement pour revenir vers elles. C’est pour me rappeler combien j’ai de la chance de les avoir. Pourquoi ? Parce que j’ai tendance à penser que quand on ne sort pas de son quotidien, quand on reste cloîtré dans sa routine, on finit par ne plus goûter ce qu’on a juste sous les yeux ; on se concentre uniquement sur les contrariétés et non sur la chance qui est la nôtre. L’on doit donc se détacher de tout ça, même pour quelques heures, histoire de remettre les choses à leur place. Beau-papa ne comprend pas que je puisse m’accorder ces moments à moi. Mais selon moi, l’on ne vit pas seulement pour être père ; et d’autre part, ça a son utilité pour le couple. Ce temps de relâche permet en effet de libérer la pression qui s’accumule au jour le jour. D’ailleurs, preuve en est : après ces sorties en solitaire, je suis toujours particulièrement disponible pour ceux que j’aime. Cette manière de faire peut sembler étonnante, mais lorsque je vois combien certaines personnes répondent à leurs enfants, à quel point elles sont sans cesse irritées par tout ce qui les concerne, je me dis que mon mode de fonctionnement n’est pas dénué d’intérêt. Mieux vaut s’allouer un moment de quiétude et être plus disponible le reste du temps, que d’être continuellement sur le fil. Bien entendu, chacun est libre de penser ce qu’il veut. Pour en revenir à mon escapade, j’ai bien apprécié ce baptême en parapente. Les sensations fournies par le parapente sont franchement à tomber, par moments. Voilà d’ailleurs le site par lequel je suis passé pour ce vol. Si vous avez toujours rêvé de voler, je vous invite à faire le grand saut ! Retrouvez plus d’informations sur l’organisateur de ce de baptême en parapente en Ardèche.
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Créé par cmonaktu le 15 fév 2017 | Dans : voyage
Imaginer le monde du jeu vidéo sans Nintendo paraît impossible. Et pourtant, vous devriez vous y préparer : il est fort possible que la firme disparaisse pour de bon, coulée par son prochain échec programmé : la Switch. Le mois dernier, j’ai fait un voyage de groupe à Moscou au cours duquel j’ai rencontré un autre fada de jeux vidéo, et nous en avons débattu à plusieurs reprises durant le séjour. Lui était un inconditionnel de Nintendo : il avait donc une foi absolue en la Switch. Mais ce n’est pas mon cas, et maglré tous ses arguments, je suis toujours aussi défaitiste quant à l’avenir de tout ça. A mon sens, Big N a tout simplement été décevant pour les joueurs. Il faut quand même se rendre compte que cette console est nettement plus chère que ses concurrents, alors qu’elle est aussi largement moins puissante. Et encore, je ne parle là que de la console de base. Or, Nintendo s’est fait le spécialiste des accessoires indispensables en tous genres, évidemment vendus séparément, et là aussi très chers. Ce qui fait que pour une console pleinement équipée et avec des jeux, la somme à débourser tournera autour de 500 euros ! Un prix tout à fait aberrant pour une console bien moins puissante que celle de Sony. Certains prétendent qu’il y aura une baisse de prix avant Noël, et que c’est là que tout se jouera. Mais étant donné le prix de base de la console et de chacun de ses accessoires, il est impossible que l’ensemble devienne moins cher que la concurrence. Et ça, c’est vraiment une erreur monumentale. Je concède que le principe de base de la Switch est assez attractif : le fait de pouvoir y jouer à tout moment est juste à tomber par terre. Mais le produit obtenu n’est, en ce qui me concerne, pas suffisant pour me convaincre. Et je suis apparemment loin d’être le seul dans ce cas de figure… La firme japonaise certifie avoir appris de ses erreurs. Mais elle en commet d’autres bien plus importantes ! Au passage, j’ai été enchanté par ce voyage de groupe en Russie. Cela faisait un bout de temps que je n’avais pas autant ri. Je vous mets en lien l’agence par laquelle je suis passé, pour les curieux.
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Créé par cmonaktu le 16 juin 2015 | Dans : voyage
On peut difficilement faire moins original en la matière, mais comment résister ? Lors d’un incentive qui nous a conduit aux Etats-Unis la semaine dernière, mes collègues et moi avons profité d’une journée sur Washington pour visiter… la Maison-Blanche. Il aurait tout de même dommage de ne pas en profiter, ne croyez-vous pas ? La Maison-Blanche est le plus vieil édifice public de Washington, et c’est évidemment un symbole de la puissance américaine. Je ne pense pas qu’il soit utile de vous la présenter. En tant que résidence et lieu de travail du président américain, c’est le bâtiment le plus célèbre et le plus facilement reconnaissable au monde. Elle apparaît dans tellement de films et de séries qu’on a une impression de déjà-vu dès les premières minutes de visite. Son histoire, en revanche, est bien moins connue. En 1792, un concours fut organisé pour la concevoir. George Washington, alors président, choisit le plan de James Hoban, tout en lui demandant de l’agrandir. Cet Irlandais s’était largement inspiré de la Leinster House de Dublin (aujourd’hui siège du Parlement irlandais). Les travaux commencèrent à l’automne 1792, et, dès 1800, bien qu’inachevée, la Maison-Blanche était habitable. John Adams fut le premier président à y résider, et au cours des années suivantes, sur ordre de Thomas Jefferson, l’architecte Benjamin Henry Latrobe ajouta deux petites ailes destinées aux écuries et dépendances. La résidence fut incendiée par les Anglais au cours de la guerre de 1812. Au terme de celle-ci, Latrobe et Hoban participèrent à la reconstruction du bâtiment, Hoban ajoutant notamment les portiques nord et sud, construits respectivement en 1824 et 1829. Au fil des ans, la Maison-Blanche a été agrandie et transformée, mais a aussi souffert de négligence et commencé à se détériorer. Le plus grand projet de rénovation fut entrepris par Jacqueline Kennedy, qui ajouta des éléments décoratifs de style français. Elle instaura aussi un comité chargé de superviser la conservation de la Maison-Blanche et de préserver son intégrité historique, comité qui travaille en étroite collaboration avec l’épouse du président. Symbole national, la Maison-Blanche est l’un des édifices les plus photographiés des États-Unis et son bureau ovale a été le témoin d’innombrables décisions historiques : c’est là qu’apparurent les X-men au président ; là que le président annonça la venue d’aliens sur notre planète ; là encore que Frank Underwood fait des pieds et des mains pour rester… Cette maison-là, en fait, il n’est pas besoin de la visiter pour en connaître chaque recoin : le cinéma la représente si souvent que c’est presque une annexe de notre chambre, dans notre imaginaire. Ce n’est sans doute pas l’endroit le plus intéressant que j’aie eu l’occasion de voir lors de cet incentive, mais ce n’est tout de même pas rien que de la visiter, et voulais tout de même vous la présenter. Même si ce n’est pas très original… et même si vous avez l’impression de déjà la connaître par coeur… ne manquez pa de la visiter, si vous passez un jour par Washington ! Je vous laisse le lien vers le voyagiste qui nous a fait ce super séminaire entreprise – suivez le lien pour leur contact.
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Créé par cmonaktu le 08 avr 2015 | Dans : voyage
Lors d’un voyage incentive aux Etats-Unis la semaine dernière, je suis passé par New York. N’étant de passage que pour la journée, je n’avais pas beaucoup de temps devant moi. J’ai finalement choisi, parmi toutes les merveilles que compte la ville, d’aller au Metropolitan Museum. Pas pour sa collection, cependant, mais pour son architecture. Car ce site incontournable vaut tout autant pour sa forme que pour son contenu. Pour la petite histoire, c’est en 1866 que John Jay, diplomate, avocat, et petit-fils du premier président de la Cour suprême des États-Unis, déclara à un groupe d’hommes d’affaires américains en visite à Paris que le temps était venu « pour le peuple américain de poser les fondations d’une institution culturelle nationale ». Ses mots trouvèrent un tel écho que, dès leur retour, les voyageurs placèrent William Cullen Bryant, journaliste et poète, à la tête d’un comité chargé de fonder le futur Metropolitan Museum of Art. Le musée installé dans un bâtiment provisoire fut inauguré en 1870. L’année suivante, après l’acquisition de 174 peintures européennes, Bryant demanda aux architectes Calvert Vaux et Jacob Wrey Mould de concevoir un premier édifice. Une petite construction en brique rouge de style néogothique, pourvue d’un toit de verre et d’acier, fut érigée dans Central Park, à l’angle de la 82e Rue et de la 5e Avenue. Elle occupait le site prévu pour un musée par Vaux et son partenaire Frederick Law Olmsted lors de leur conception du parc. Mais là l’histoire devient intéressante, c’est que le bâtiment Vaux-Mould fut littéralement avalé par les extensions nouvelles au fur et à mesure de l’élargissement du « Met » (c’est ainsi que les américains surnomment le musée) : la façade néoclassique sur la 5e Avenue et le grand hall furent conçus par Richard Morris Hunt et exécutés par son fils entre 1902 et 1926 ; en 1911 et 1913, l’agence McKim Mead White ajouta des ailes Nord et Sud ; entre 1971 et 1991 un vaste programme d’aménagement conduit par les architectes Kevin Roche et John Dinkeloo fut exécuté, qui incluait la Collection Lehman, au rez-de-chaussée, l’Aile Sadder qui abrite le temple de Dendur, et l’Aile Michael Rockefeller où sont regroupés les Arts africains, océaniens et amérindiens. Agrandie en 1980, l’aile américaine offre un vaste espace à la plus grande collection d’art américain du pays. L’Aile Lila Atcheson Wallace, dédiée à l’art moderne, fut quant à elle ajoutée en 1987. Le musée connaît des rénovations et des transformations régulières, et on est littéralement fasciné en l’arpentant par son incroyable développement. Et on ne peut s’empêcher de penser à quoi il ressemblera dans cents ou deux cents ans, s’il continue à grandir encore : il aura alors certainement dévoré la ville toute entière ou au moins Central Park. Ma visite fut brève, mais c’est au final la visite que j’ai préférée lors de cet incentive. Pour ceux qui voudraient faire de même, je vous laisse le lien vers ceux qui ont organisé notre voyage incentive aux USA. Suivez le lien pour leur contact.
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Créé par cmonaktu le 27 nov 2014 | Dans : voyage
Quand on pense à Malte, on imagine aussitôt la plage, les activités nautiques, et la détente. Et lorsqu’on m’y a envoyé en séminaire, j’ai pris tous les éléments indispensables à un séminaire professionnel : serviette, maillot, tuba, crème solaire… Je comptais bien profiter du moindre moment de libre entre deux réunions pour goûter aux joies de l’île. Sauf qu’on est en novembre. Et que s’il y fait plus chaud qu’ailleurs, il y pleut tout autant. Je me suis donc rabattu sur le musée des inventions de l’île. C’est pourquoi je vais aujourd’hui vous présenter la fabuleuse histoire de la lampe à huile. Si vous auriez préféré que je vous parle de plongée sous-marine ou de kitesurf, comprenez bien une chose : moi aussi. Pour toute réclamation, adressez-vous à mère Nature. L’humble lampe, à huile ou à pétrole, ne sert guère de nos jours que lors des pannes de courant. Mais durant des milliers d’années, ses devancières ont fait reculer les ténèbres, sans oublier leur rôle symbolique, religieux ou festif. On estime que les premiers modèles, très grossiers, virent le jour 80 000 ans av. J.-C. Une lampe est un récipient contenant un liquide inflammable, muni d’une mèche à combustion lente conçue pour absorber le combustible. Les premiers hommes utilisaient des pierres ou des coquillages creux emplis de graisse animale. Un peu de mousse ou de lichen tenait lieu de mèche. La première lampe digne de ce nom apparaît avec l’agriculture, vers l0 000 av. J.-C. Avec la plantation d’oléagineux, comme l’olivier, le combustible était tout trouvé. Outre la lumière qu’elles dispensaient, les lampes devinrent d’importants symboles utilisés lors des rituels – la Bible et le Coran y font maintes références. Avec les Romains, la lampe à huile passa au stade de la production de masse (un stock tout neuf a été découvert dans les ruines de Pompéi, détruite par une éruption volcanique en 79 apr. J.-C). Au Moyen Âge, la chandelle devint populaire, mais sa flamme n’égala jamais la brillance de la lampe à huile. Néanmoins, la révolution industrielle du XVIIIe siècle créa les conditions de l’innovation. En 1780, le savant Aimé Argand mit au point une lampe à carcasse métallique, donnant une flamme vive et exempte de fumée, mais l’éclairage électrique rangea dans les placards de l’histoire une invention aussi vieille que la civilisation. Voilà. A défaut de vous avoir fait rêver, je vous ai rendu plus cultivé. Ne me remerciez pas. Si j’ai plus de chance pour mon prochain séminaire sur l’île, vous aurez peut-être droit à un récit de plongée. Cela fait un moment que je rêve de voir le Blue Hole. Bon, je vous laisse quand même le lien vers l’agence séminaire à Malte qui s’est très bien occupée de nous, ils ont fait un boulot remarquable pour que notre événement soit un succès.
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